A découvrir

Fontaine des pèresCette petite fontaine fut construite sur une source dont les eaux se déversent dans la Mauldre. Le ruisseau dit « ruisseau de la Fontaine des Pères » alimente deux étangs dont les eaux actionnaient deux moulins : le grand moulin Follet et le petit moulin Follet.
La Fontaine des Pères a été nettoyée récemment.

L’église de St Rémy l’honoré a été confortée par les religieuses de Haute-Bruyère dans la seconde moitié du XII siècle, c’est à dire peu d’années après leur arrivée au prieuré. Elle était desservie par le Prieur de Haute-Bruyère, qui était en même temps curé de la paroisse. Il est presque certain qu’avant la construction de cette église, il devait y avoir un autre lieu de culte, chapelle ou petit sanctuaire, puisque le village existait et qu’il portait déjà l’appellation de « Saint Rémy ». On n’en trouve pas de trace. C’est sur son emplacement, très probablement, que fut élevée l’église actuelle, transformée au cours des siècles, mais dont il subsiste certaines parties, qui datent de cette époque.

Coté Nord : Nef et Clocher
Coté Nord : Nef et Clocher

Une nouvelle consécration de l’église eut lieu lors de l’ajout du bas coté sud (XVIe siècle) : 12 pierres sculptées croix de consécration fleurdelyssées sont visibles dans la nef, le bas coté et le vestibule d’entrée de la tour-clocher

En 1793, plusieurs œuvres d’art furent transportées du prieuré des hautes bruyères dans l’église paroissiale de Saint Rémy l’Honoré (4 grands tableaux, l’horloge, ..)

Un porche a été rapporté en avant de l’ancienne entrée de l’église, au début du XIXe siècle (1842).

Une petite sacristie carrée a été rapportée dans l’angle formé par le chœur et le bas-coté, au sud-est de l’église.

Coté Sud : bas coté à quatre pignons
Coté Sud : bas coté à quatre pignons

La tour du clocher apparaît comme la partie la pus ancienne de l’édifice (XIII siècle).
Le bas coté Sud, a été rebâti en 1842, mais sans modification de ses dispositions architecturales.

La nef est couverte d’une voûte lambrissée en bois, en plein cintre ; Les entraits et poinçons des fermes, qui apparaissent dans la volume de la voûte, sont moulurés, ainsi que les corniches.

Le bas coté est composé de quatre travées voûtées d’ogives simples, aux nervures moulurées et clefs de voûte sculptées de rosaces.

Le Clocher dans le vaisseau principal
Le Clocher dans le vaisseau principal

Il est ouvert sur la nef par quatre grandes arcades dont trois sont composées d’arcs en tiers point reposant sur des piliers de plan orthogonal, tandis que l’arcade située la plus à l’est, donnant sur le chœur, est en plein cintre et repose sur des piliers cylindriques

L’église de Saint Rémy l’Honoré, renferme de très beaux ornements :

  • le vitrail de Saint Rémy, l’autel de la Vierge, la Vierge à l’enfant, la statue de Saint Rémy en bois polychrome…

Le seul vitrail de l’église : Celui de Saint Rémy, dans la baie d’axe du chœur. Il représente Saint Rémy en archevêque sous un dai.

Vitrail et Statue de St Rémy
Vitrail et Statue de St Rémy

La cloche se nomme Rosalie Hieronyme, prénom de la femme de son parrain, Messire Philipperaux de Pontchartrain, propre chancelier de Louis XIV.

A Saint Rémy l’Honoré, au bout de la route du long des bois, à l’entrée de la forêt, on peut observer les traces d’un ancien camp romain dit « des Plainvaux » au lieu dit « Le Parc des Anglais ».
au XVème siècle – pendant la guerre de 100 ans les bandes armées du Duc de Bourgogne et de l’armée anglaise vinrent camper à cet emplacement.

L’armée romaine était très organisée : les camps possédaient une forme immuable, l’ordre de marche s’adaptait à l’environnement (hostile ou neutre) et les tactiques pour les sièges étaient très efficaces.

Camp romain
Camp romain

Le camp romain était installé chaque nuit, son installation était rapide (2 heures). On organisait le camp à la méthode des augures. Le camp était constitué de :

  • le principia (le quartier général)
  • le praetorium (habitation du général)
  • 2 voies : la via principalis et la via praetoria
  • 4 portes : porta praetoria, porta principalis dextra, porta principalis sinistra et prota decumana
  •  un fossé et le remblai.

Si vous vous sentez l’âme d’un archéologue, vous pourrez y découvrir les restes des  fossés et des fortifications. Vus d’avion, ces camps sont facilement repérables par leurs géométries carrées ou rectangulaires laissées par les fortifications

Sur la route des Mesnuls, juste avant le pont sur le Guyon, on peut apercevoir les vestiges d’un lavoir.
Si vous voulez en savoir plus sur les lavoirs de la région :
http://assoc.orange.fr/cyclos-cyclotes/lavoirs/lavoirs_centre.htm

Le jardin Chinois (Le Jardin de YILI)Conditions de visite : guidée
Gestionnaire : JARDIN YILI 12 rue d’yte 78690 ST Rémy l’Honoré Tel : 01 34 87 97 07
Type : Jardin privé.
Style : Traditionnel chinois.
Site Internet

Notice historique:
Le jardin Yili est un jardin traditionnel chinois, le premier en France. Il a été réalisé dans le cadre de l’année croisée France/Chine. La contribution du Service des Espaces verts de la ville de Suzhou, Venise d’extrême-orient chargée de ses 2 500 ans d’histoire, aux 9 jardins classés patrimoine mondial, a permis la réussite de ce projet. Le jardin Yili vous permet de découvrir un jardin traditionnel chinois ainsi que l’art des bonsaïs.
Il a été inauguré le 11 juin 2004.
Le Jardin a été jumelé avec le lingering garden de SUZHOU le 13 octobre 2005.
le 8 mai 2007, le jardin a été étendu par le jardin des Pivoines.

Le jardin Chinois (Le Jardin de YILI)Points remarquables:
S’étendant sur 6 000 m2, la conception esthétique du jardin Yili, bercée par le Yang et le Yin (le féminin et le masculin), le Fong et le Shui (le vent et l’eau), harmonie avec la nature dans un schéma asymétrique, empreint de poésie il nous permet d’imaginer un grand poète chinois, le dos courbé sur une feuille de papier blanc, écrivant un poème dédié au pays des Prunus en fleurs…
Ce jardin, véritable tableau vivant en 3 dimensions, a été construit avec des matériaux venus de Chine.
Vous trouverez également un jardin de bonsaïs rayonnants.

Tous les soins apportés à cette collection et à cette production leur sont donnés par leur Maître, Monsieur Kang, ingénieur horticole de l’Ecole Nationale Supérieure Horticole de Versailles.
Pour retrouver les trésors de l’Empire du Milieu, symbiose entre l’homme et la nature, source de bonheur, entre rêve et réalité, sachez découvrir à travers chaque fenêtre, la perspective d’un nouveau détail, équilibre d’un état d’esprit naturel…

Conseils et événements:
Visite en groupe sur rendez-vous : Tél 01 34 87 97 07
Pour les écoles, associations,…, l’association Jardin Yili vous propose :
1ere partie : la présentation de la culture chinoise à travers le jardin traditionnel et sa visite guidée.
2e partie : la découverte du bonsaï avec un cours d’initiation mis en pratique par les éléves eux-mêmes.

Les Origines – un Roman d’amour entre Bertrade de Montfort (1070-1128) et Philippe 1er

Après la mort de Philippe 1er (1108), pour se faire pardonner de ses frasques amoureuses, Bertrade entre en retraite au monastère de Fontevrault. En 1112, Amaury III frère de Bertrade avec le soutien du roi Louis VI – fils de Philippe 1er – fonde l’abbaye de Haute-Bruyère. C’est en 1114 que Bertrade y sera nommée pieuse jusqu’à sa mort.

Du XIIème au XVIème siècle

Haute-Bruyère est un prieuré de femmes. En 1160, il est occupé par 200 personnes qui accueillent les malades, donnent l’instruction aux enfants, disposent du droit de pâture pour les pourceaux et bêtes amailles.

Plusieurs grandes fermes alimentaient le Monastère : celles de Haute Bruyère, de Beauvais, de Chatillon, de Montmort, de la Justice (ferme au Boeufs) et de la Tasse ;

Les religieuses possédaient des vignes à Suresnes, Rueil, Nanterre, Puteaux, Courbevoie, Elles firent construire à Epernon un bâtiment servant à l’exploitation des droits de mesurage des grains et du vin.

Au XVème siècle – les cultures furent ravagées, par les bandes armées qui vinrent camper dans la forêt de Plainvaux à l’emplacement du camp romain. Le prieuré fut abandonné. Quelques membres restèrent, il devait alors servir d’hôtellerie.

En 1537 on compte 128 personnes au prieuré qui reprend vie.

C’est un haut lieu de sépulture ; les Comtes de Montfort y sont inhumés. Parmi eux Simon IV qui rapporta de la 4ème croisade en Terre Sainte, un morceau de la vraie croix.

En 1547 – le corps de François 1er fut transporté de Rambouillet à Haute-Bruyère. Son coeur rejoindra la basilique de Saint Denis en 1852.

La Révolution – La fin de Haute-Bruyère
Les décrets de 1790 ordonnèrent la fermeture de tous les monastères.
Après la vente du mobilier et des terres, le prieuré fut détruit en 1794.

Plan abbayePrieuré des dames de Hautes Bruyères d’après un plan de 1691
A – l’entrée – elle demeure celle de la ferme actuelle. Au dessus sont gravés les armoiries du couvent
B – les écuries
C – la grange qui servait d’hôpital
D – Les bâtiments des Pères comportant cloître , dortoir, refectoire, chapelle privée
E – l’église construite en 1778 et détruite en 1794
F – le cimetière en contrebas de l’église
G – la salle capitullaire – à cette emplacement, en 1798, sera construite une maison avec lespierres provenant du prieuré
H – les deux cloîtres
I – l’abreuvoir

Les fermes de Beauvais, du long des bois, de Châtillon, de la Justice ou ferme aux bœufs, les fermes de la Tasse et de Montmort sont données par les Seigneurs de Montfort au Monastère. C’est ainsi qu’ils avaient un droit de péage sur les grains, les farines, les légumes et les bestiaux. Un manuscrit signale en 1472, une sentence du prévôt de Trappes « qui confisqua » une tête de bétail à la veuve d’Audemardre pour s’être soustraite à l’impôt »

A la révolution, elles vendent le produit de leur culture à Montfort, Pontchartrain, Neauphle le château, à Versailles et même à Paris.

Les étangs de la MauldreLes deux étangs de la rivière La Mauldre soulignent, avec ce cours d’eau, la limite Est du territoire de la commune.
Simplement dénommés le Grand étang et le Petit étang , ils sont respectivement situés en aval, du côté de Bicherel, et en amont, du côté de la Fontaine des Pères en direction de Coignières. Les terrains naturellement argileux, parcourus d’affleurements sablonneux favorisent ici le ruissellement et  la formation de mares et d’étangs qui constituent d’agréables buts de promenade. Les étangs de La Mauldre sont également le point de départ d’un parcours santé accessible à tous.

On y accède par la rue des Etangs et par la rue Pièce à Mademoiselle. A voir.

Situé en lisière du massif forestier de Rambouillet, fleuron de la ceinture verte d’Ile de France, le village de Saint Rémy l’Honoré constitue un bon point de départ pour une balade entre nature préservée et histoire de France.

En quittant Saint Rémy par la rue du Long des bois, le promeneur foule d’emblée un sentier qui musarde entre taillis, essarts et futaies, vestiges de l’ancienne forêt des Carnutes. Ce sentier  donne bientôt accès à un riche réseau de chemins tracés sur d’antiques voies romaines et de pistes de chasses royales jalonnées de bornes à fleur de lys à demi enfouies.

Pour quelques heures ou la journée, il est ainsi possible, pique-nique dans le sac, d’arpenter agréablement un domaine public de 14000 hectares à la rencontre de vénérables centenaires aux noms évocateurs : «Chêne Baudet » ; « Chêne du grand veneur »… qui ponctuent la traversée du massif entre l’étang du Coupe-gorge et la chapelle du XIIème siècle de Gambaiseuil. De nombreux thèmes, au gré de l’imagination, permettent d’organiser facilement un itinéraire de découverte familiale ou entre amis, comme celui des maisons forestières administrativement disposées entre chênes, pins sylvestres, hêtres et bouleaux.

En étant discret, il n’est pas rare de croiser un timide chevreuil, un sanglier furtif, ou encore d’entrevoir une harde de cerfs traverser vivement une allée en direction des sous-bois. Magique.

Les amateurs de VTT ont à leur disposition une piste de 33 km, non balisée ; ils prendront soin par ailleurs de respecter les règles d’emprunt des sentiers réservés aux marcheurs. Un maillage d’étoiles repérées par des pancartes, d’où rayonnent des chemins entretenus et de larges allées cavalières, permet aux randonneurs de se repérer. Il est toutefois conseillé de se munir d’une carte topographique* à bonne échelle pour profiter pleinement des nombreuses possibilités offertes.

Une visite de la Bergerie nationale fondée par Louis XVI, directement accessible au sortir de la forêt, peut compléter avec bonheur une promenade qui ne manquera pas de ravir, au fil des saisons, les photographes, botanistes et autres mycologues.

Les voitures peuvent, elles, accéder directement à certains carrefours forestiers comme celui du Sycomore, au point de vue panoramique, ou celui de la Rotonde qui dessert également la base de loisirs des étangs de Hollande creusés sous Louis XIV dans le but d’alimenter les bassins de Versailles ; leur actuelle appellation dérive d’Orlande, nom de la seigneurie propriétaire du domaine à l’époque médiévale.

Nous recommandons l’excellente Carte IGN bleue au 1/25000 – 2215 OT ainsi que le Topo guide VTT ONF N°4

Le GR11, sur la traversée de Saint Rémy l’Honoré s’étend de Bazoches sur Guyonne (Maison de Jean Monnet) à Coignières (Allée des pommiers)

Détail du parcours :

On part de l’allée des pommiers qui borde le sud  du domaine du château la maison rouge qui est la propriété de la famille Dassault.  Au bout du mur qui borde la propriété, commence le bois des haute-bruyères dans lequel on pénètre par le GR11. On passe prés du petit étang puis on longe le grand étang au bout duquel on peut faire une pause. On sort ensuite du bois pour traverser la partie Est de Saint Rémy l’honoré. À la sortie du village, toujours sur le GR11 on gravit le bois de la côte, bien nommé car il épouse une colline que l’on doit grimper puis dévaler pour le traverser. Cela se présente bien car le chemin est très large. En bas de la descente on arrive au hameau de la Pinsonnière.
Il faut alors remonter vers Bazoches sur Guyonne pour arriver à la maison de Jean Monnet.

Le tracé du GR 11 sur la commune
Le tracé du GR 11 sur la commune

 

Position début : N 48,7654° E 01,8690° Alt. 147 m
Position fin : N 48,7548° E 01,8927° Alt. 117 m

Longueur du tracé : 3,447 km
Alt. Max 173 m
Alt. Min. 115 m

Dénivelé parcours : 208 m
Dénivelé positif : 89 m, négatif : 119 m
Durée parcours randonnée: 0h 55 mn

Ajouter 23 mn pour aller jusqu’à la maison de Jean Monnet et 35 mn pour remonter jusqu’à Coignières (Allée des Pommiers)

Des champs encadrant une riche bourgade commerçante, nichée dans une petite vallée. On imagine bien ici la vie quotidienne à Diodurum.

Nous sommes au 1er siècle avant J. C., la Gaule vient d’être conquise par Jules César. Un petit village gaulois… Non, ce n’est pas le village d’Astérix, mais près de Saint-Rémy l’Honoré, quelque part entre Pontchartrain, Le Tremblay, Les Mousseaux et Bazoches, un site qui va devenir une des villes les plus importantes de la Gaule antique.
Ce village est situé au carrefour de deux voies qui sont de toute première importance. Elles relient entre elles les grandes cités de Caesoromagus à Austricum et Genabum (Beauvais, Chartres et Orléans) du Nord au Sud, et de Lutèce à Durocasses (Paris et Dreux) d’Est en Ouest.

Ce site que l’on va baptiser Diodurum (la Cité des Dieux) va, pendant cinq siècles occuper une place parmi les plus importantes du monde Gallo-Romain. Puis, pendant le Haut Moyen-Age, peu à peu, elle perdra de son importance et sombrera dans l’oubli.

Du théâtre, on ne sait rien ou presque. Seule une photo aérienne, prise dans les années 70, a permis de repérer sa forme arrondie.
Du théâtre, on ne sait rien ou presque. Seule une photo aérienne, prise dans les années 70, a permis de repérer sa forme arrondie.

Si ce site est connu depuis un siècle et demi, ce n’est qu’en 1976, grâce à des relevés effectués au moyen de photographies aériennes, que l’on en mesure l’importance. Sous une couche de sédiments amassés par la Mauldre, au cours incertain, un site archéologique d’une importance exceptionnelle, sommeille depuis un millénaire et demi. La couche de terre de deux mètres d’épaisseur environ, est actuellement mise en culture sur sa plus grande surface. L’intérêt est d’autant plus grand que l’on pourra vraisemblablement trouver des vestiges relatifs à une longue période des gaulois à la fin du Haut Moyen-Age. Le pourtour de la ville ayant été protégé, on pourra également trouver des informations précises et rares dans un domaine peu connu: les abords des cités antiques.

Nous sommes ici en présence d’une ville gallo-romaine ayant conservé toutes ses caractéristiques. On a en effet pu détecter les ruines de plusieurs temples, d’un théâtre antique, de thermes romains. Les habitants, le marché, les centres artisanaux témoignent d’une activité économique de tout premier plan. Pendant toute une période Diodurum fut à peu près l’égale de Lutèce. Diodurum va peu à peu perdre de son importance et être désertée par ses habitants, qui vinrent s’installer aux alentours, fondant plusieurs villages, dont sans doute Saint-Rémy l’Honoré. Il ne subsistera bientôt plus qu’une ferme (la ferme dYtes, aujourd’hui en ruines). Lors des travaux de terrassement de la déviation de la RN 12 à Jouars-Pontchartrain, déjà, une grande quantité d’objets a pu être découverte : poteries, ustensiles en métal, pièces de monnaie, bijoux… Une partie des vestiges a été recouverte par la route, sous laquelle des techniques de préservation ont été appliquées, laissant aux générations futures le soin de les analyser.

Notre village a décidé d’adhérer à l’APSAD (Association pour la Préservation du Site de Diodurum, créée à l’initiative de la municipalité de Jouars-Pontchartrain) dont l’objectif est de participer à la préservation et à la mise en valeur des vestiges.

Contact APSAD – Président: Michel Recoussines – 01.34.89.02.15 ou  jouarspontchartrain.fr

Site internet : https://sites.google.com/view/apsadiodurum

apsadiodurum@gmail.com